FEMMEACTUELLE - "C’est vraiment quelque chose qui m’a beaucoup marquĂ©" : Bernard Campan se livre avec Ă©motion sur l’alcoolisme vĂ©cu par sa femme Femme Actuelle 0:25 Situ veux savoir comment faire jouir une femme - n’oublie jamais les prĂ©liminaires ! Avant qu’il ne se passe quoi que ce soit, commence par l’embrasser et caresser ses zones Ă©rogĂšnes : sa bouche, sa poitrine et derriĂšre ses oreilles. Faire cela lui permettra d’ĂȘtre lubrifiĂ©e naturellement, et tu peux vraiment te connecter avec Jai fait ce que je pouvais : si j'allais au centre aĂ©rĂ©, je prenais l'atelier danse. J'Ă©tais passionnĂ©e de films bollywoodiens dont je reproduisais les chorĂ©graphies et j'adorais faire des Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Je suis allĂ©e chez mon copain le week-end dernier. La soirĂ©e se passait trĂšs bien et j’étais la plus heureuse des filles Ă  ce moment-lĂ . J’ai dĂ©cidĂ© de faire une pipe Ă  mon copain. J’étais Ă  genoux Ă  cĂŽtĂ© du lit. A un moment donnĂ© j’ai sentie quelque chose sur mes jambes, j’ai voulue me retourner pour regarder ce que c’était mais mon copain m’a dit de ne pas m’en faire et de continuer son petit plaisir. Cependant ce quelque chose qui Ă©tait derriĂšre moi Ă©tait son berger allemand et sans crier gare il a grimpĂ© sur moi et il s’est mis Ă  me violer. Est-ce qu’il y a des risques de maladie ? J’ai plus ou mois apprĂ©ciĂ©e car si j’avais su j’aurais pas fait de gaterie Ă  mon copain. Merci de rĂ©pondre. Iza Bonjour Iza ! Je suis heureux de reconnaĂźtre la confiance que tu portes Ă  AlterHĂ©ros pour rĂ©pondre Ă  tes questionnements. Je peux comprendre que tu as vĂ©cu un Ă©vĂ©nement possiblement traumatisant, je tiens donc Ă  te fĂ©liciter de prendre contact avec nous et de nous partager tes inquiĂ©tudes. Si je comprends bien la situation, alors que tu avais un rapport sexuel oral avec ton amoureux, celui-ci t’a contraint Ă  avoir un rapport sexuel avec son chien. Tu n’as pas apprĂ©ciĂ© cette expĂ©rience, prĂ©cisant que si tu avais Ă©tĂ© avertie d’avance, tu aurais refusĂ© d’avoir cette proximitĂ© sexuelle avec ton copain. Tu te questionnes Ă©galement au sujet des risques pour ta propre santĂ© physique Ă  la suite de cet Ă©vĂšnement. Avant de parler des risques pour ta santĂ© en lien avec des contacts sexuels avec un animal, j’aimerais beaucoup revenir avec toi sur cet Ă©vĂšnement. Tu nommes le fait que ton amoureux t’ait retenu pour t’inciter Ă  poursuivre la fellation que tu lui donnais. Tu prĂ©cises Ă©galement que tu n’aurais pas acceptĂ© un tel rapport sexuel si tu avais su que tu serais obligĂ©e d’avoir un rapport sexuel avec un chien
 Est-ce que tu connais le terme consentement ? Le consentement est le fait d’accepter de participer Ă  une activitĂ© sexuelle. Il est possible d’identifier trois variables importantes au consentement celui-ci doit ĂȘtre libre, Ă©clairĂ© et enthousiaste. Si une personne refuse de participer Ă  une activitĂ© sexuelle avec une autre personne et qu’elle est forcĂ©e de le faire, c’est une agression. Personne n’a le droit d’imposer des relations sexuelles Ă  une autre personne contre sa volontĂ©. » ConsĂ©quemment, Ă  tout moment une personne a le droit de dire NON. Pour qu’un consentement soit libre, cela signifie qu’aucune forme de pression, menace ou contrainte ne doit ĂȘtre exercĂ©e pour obliger quelqu’ Ă  avoir un rapport sexuel. Puis, pour qu’un consentement soit Ă©clairĂ©, cela signifie que les partenaires possĂšdent l’information nĂ©cessaire afin de prendre une dĂ©cision Ă©clairĂ©e sur le fait d’accepter ou de refuser d’avoir un rapport sexuel. Finalement, pour qu’un consentement soit enthousiaste, cela signifie d’accepter avec plaisir et envie le fait d’avoir un rapport sexuel. Pour revenir sur la situation que tu as vĂ©cue, il me semble que certains paramĂštres du consentement sexuel n’étaient pas prĂ©sents lors de cet Ă©vĂšnement
 Qu’en penses-tu ? Si je comprends bien les mots que tu as utilisĂ©s, tu nommes le fait que tu t’es sentie obligĂ©e de poursuivre la fellation de la part de ton amoureux et, consĂ©quemment, de te laisser pĂ©nĂ©trer par ce chien. Cela me semble trĂšs grave et ouvre la porte Ă  une discussion sĂ©rieuse avec ton amoureux. Lorsque tu dĂ©cides que c’est non, c’est non. En aucun cas, il n’aurait dĂ» t’obliger Ă  poursuivre cette fellation et en aucun cas il n’avait le droit de te contraindre Ă  avoir un rapport sexuel avec son chien. Pour plus d’informations au sujet du consentement sexuel, n’hĂ©site pas Ă  regarder ce court vidĂ©o. Par la suite
 connais-tu les diffĂ©rentes lois qui encadrent les pratiques sexuelles au Canada ? Le consentement sexuel est clairement dĂ©fini par le Code criminel du Canada. Ainsi, il est illĂ©gal de contraindre une personne Ă  avoir des rapports sexuels sans son consentement. Par ailleurs, le Code criminel du Canada interdit Ă©galement les actes de bestialitĂ©, soit le fait d’avoir des comportements sexuels avec un animal. Plus prĂ©cisĂ©ment, le Code criminel du Canada peut pĂ©naliser toute personne qui en force une autre Ă  commettre un acte de bestialitĂ© ». En ce sens, pendant cet Ă©vĂšnement troublant, ton amoureux n’a Ă  la fois pas respectĂ© ton consentement sexuel, mais il t’a Ă©galement obligĂ© Ă  avoir un rapport sexuel avec un animal ce qui est tout simplement illĂ©gal. Je suis conscient qu’il s’agit de beaucoup d’informations en mĂȘme temps. As-tu une personne de confiance dans ton entourage Ă  qui tu pourrais discuter de cet Ă©vĂšnement ? Comment dĂ©crirais-tu ton sentiment de sĂ©curitĂ© actuellement ? C’est important de pouvoir te libĂ©rer de ce que tu ressens et de bĂ©nĂ©ficier d’un support appropriĂ© dans ce type de situation. Je t’invite Ă©galement Ă  prendre contact avec le Centre d’aide et de luttre contre les agressions Ă  caractĂšre sexuel CALACS le plus prĂšs de chez toi. Il est possible de les tĂ©lĂ©phoner Ă  tout moment au 1-888-933-9007. Tu peux Ă©galement prendre la dĂ©cision de leur Ă©crire ou de rencontrer physiquement une intervenante qui pourra te supporter dans cette situation. Le CALACS le plus prĂšs de chez toi pourra, par exemple, t’accueillir dans un environnement sĂ©curitaire et comprĂ©hensif. Je dois admettre que je m’inquiĂšte beaucoup pour toi, pour ton intĂ©gritĂ© et ton bien-ĂȘtre. Je suis convaincu que l’équipe du CALACS saura t’offrir les mots dont tu as de besoin, t’accompagner dans tes futures dĂ©marches et te supporter dans la guĂ©rison de ces blessures psychologiques que tu peux possiblement vivre prĂ©sentement. Finalement, au sujet des risques pour la santĂ© si tu as Ă©tĂ© en contact avec le pĂ©nis d’un chien, peu de documentation existe Ă  ce sujet. Les animaux possĂšdent plusieurs bactĂ©ries, il est donc possible de dĂ©velopper certaines formes d’infections bactĂ©riennes au niveau de la vulve, comme une vaginite Ă  levure par exemple. Pour ce type de questionnement au niveau de ta santĂ© personnelle, il serait recommandĂ© de prendre rendez-vous avec une personne professionnelle de la santĂ© afin d’évaluer avec toi les diffĂ©rents risques pour ta santĂ© et de procĂ©der Ă  diffĂ©rents dĂ©pistages, juste pour ĂȘtre que tout est correct. Par exemple, est-ce qu’une infirmiĂšre ou un infirmier travaille Ă  ton Ă©cole ? Tu pourrais lui parler de cette situation. Les de la santĂ© ne sont pas lĂ  pour porter un jugement, mais bien pour t’offrir un soutien dans tes dĂ©marches. Je peux comprendre qu’il peut ĂȘtre gĂȘnant ou intimidant d’aborder ce type de sujet avec une autre personne, mais je suis certain que tu recevras une Ă©coute attive de leur part et des services adaptĂ©s Ă  tes besoins. Pour conclure, je te remercie encore de nous avoir Ă©crit. N’hĂ©site surtout pas Ă  nous Ă©crire de nouveau si tu en ressens le besoin ! Je te souhaite sincĂšrement de prendre soin de toi, et sache que le CALACS, AlterHĂ©ros et les de la santĂ© demeurent pour toi. Avec plein d’amour, je te souhaite bon courage. Guillaume, coordonnateur de l’intervention pour AlterHĂ©ros La Presse vous propose chaque semaine un tĂ©moignage qui vise Ă  illustrer ce qui se passe rĂ©ellement derriĂšre la porte de la chambre Ă  coucher, dans l’intimitĂ©, loin, bien loin des statistiques et des normes. Aujourd’hui Claude*, 64 ans Il est mariĂ© depuis plus de 40 ans. Amoureux fou de sa conjointe extraordinaire », avec qui il partage une intimitĂ© intense ». Mais Claude n’est pas que ça. Il est aussi bisexuel, Ă©changiste, et surtout dans le placard. Le sexagĂ©naire de QuĂ©bec ne s’est jamais vraiment confiĂ©. À part Ă©videmment sa femme, et tous les amis qu’ils se sont faits dans le milieu, personne ne sait. Parce que c’est tabou », dit-il. Disons mĂȘme doublement. C’est comme vivre dans le garde-robe ! compare-t-il. Pas que ça me brime. Mais j’ai l’impression de toujours garder un secret. Je serais un espion russe que je me sentirais Ă  peu prĂšs pareil ! » L’homme d’affaires se raconte cela dit avec aisance, en entrevue virtuelle, distance oblige. Tous les deux, on a eu une enfance tout ce qu’il y a de plus normale », dit-il en souriant Ă  la camĂ©ra. Avec une Ă©ducation sexuelle de base », et surtout d’époque pensez annĂ©es 1960. Sa premiĂšre relation sexuelle ? Trois semaines avant de me marier, sourit Claude. Mais ça ne veut pas dire qu’on n’a pas eu de caresses intenses avant ! » Il n’a d’ailleurs que de bons mots pour sa conjointe, rencontrĂ©e autour de ses 17 ans Ç’a Ă©tĂ© un coup de foudre qui dure encore. Oui, oui, oui, on est un couple fusionnel ! On a beaucoup de misĂšre Ă  passer une journĂ©e sans ĂȘtre ensemble. » Au lit ? Intense dĂšs le dĂ©but, et ça l’est encore. » Et puis voilĂ  qu’au bout de 20 ans de vie commune et sans jamais le moindre conflit et aprĂšs deux beaux enfants tout aussi extraordinaires », prend-il la peine de prĂ©ciser, Claude commence Ă  lorgner du cĂŽtĂ© de l’échangisme. Pourquoi lĂ , Ă  ce moment prĂ©cis ? Parce qu’avant, ça n’était pas dans mes prioritĂ©s ! » Avec les enfants, la job, on Ă©tait occupĂ©s. On n’avait pas beaucoup de temps pour ĂȘtre extravagants ! Claude Ni pour penser Ă  autre chose, comme aux hommes je n’y ai jamais pensĂ© ! », confirme-t-il. L’échangisme, qu’est-ce que tu en penses ? », a-t-il tout bonnement proposĂ©. Évidemment, madame a eu un lĂ©ger choc » au dĂ©but, mais ne s’est visiblement pas trop mal acclimatĂ©e depuis. D’ailleurs, il faut se remettre dans le contexte Ă  l’époque, il y a de cela 20 ans, l’affaire n’était pas exactement lĂ©gale. C’était peu de temps avant la reconnaissance de la chose par la Cour suprĂȘme 2005. Il fallait ĂȘtre curieux pour trouver des endroits ! » Curieux, audacieux et, en prime, persĂ©vĂ©rants. La preuve pour ĂȘtre admis dans ces soirĂ©es clandestines », il fallait carrĂ©ment rĂ©pondre Ă  un questionnaire au tĂ©lĂ©phone. Puis oser aller dans des coins Ă©loignĂ©s, sortir par des portes arriĂšre, passer chez un voisin, et se rendre enfin au dit lieu. Et craindre, par le fait mĂȘme, constamment les descentes de police. Mais cela ne les a aucunement refroidis. En fait, il raconte On Ă©tait plus prĂ©occupĂ©s de savoir si on faisait les choses correctement ! » La premiĂšre vision, c’est que c’est un monde de pervers, des gens qui vont nous attaquer, poursuit Claude. Mais c’est de l’ignorance. » Au bout d’une, deux, trois et combien d’autres soirĂ©es, tout ça s’est fait naturellement ». Bilan ? Ça fait 23 ans, et on en fait encore [des soirĂ©es Ă©changistes] ! » MalgrĂ© tout ça, je valorise beaucoup ma relation avec ma femme. Si on fait quelque chose, on le fait en couple. Claude Et puis Ă  travers tout ça », comme il dit, il y a plus ou moins 20 ans aussi, et plus ou moins par hasard, aprĂšs une soirĂ©e arrosĂ©e entre collĂšgues, Claude est entrĂ© un soir dans un peep show, rue Sainte-Catherine. Un gars s’assoit Ă  cĂŽtĂ© de moi, se souvient-il, je ne hais pas ça. Ça me dĂ©stabilise, mais ça n’est pas dĂ©sagrĂ©able. » Il nuance C’est agrĂ©able, mais sans plus, ça ne rĂ©volutionne pas ma vie. » Il n’en parle pas Ă  ce moment-lĂ . Je ne voyais pas l’intĂ©rĂȘt », et l’aventure reste latente » quelque temps. Puis une autre fois, une bulle passe dans [son] cerveau », enchaĂźne-t-il. Claude ose carrĂ©ment se rendre dans un sauna pour hommes. Dans le genre interdit, un vol de banque, ç’aurait Ă©tĂ© la mĂȘme chose ». C’est dire s’il Ă©tait naĂŻf », dit-il en riant. J’étais incroyablement mal Ă  l’aise ! » N’empĂȘche J’ai consommĂ© et j’ai Ă©tĂ© consommĂ©, et ç’a vraiment Ă©tĂ© agrĂ©able. » Voici comment il explique l’affaire Ă  sa femme J’ai toujours Ă©tĂ© prĂȘt Ă  essayer de nouvelles affaires, et ça fait partie des choses que je voulais essayer. Et je n’ai pas dĂ©testĂ© ça. » RĂ©action ? TrĂšs bonne. Ma femme a une ouverture incroyable... » On devine que leurs rencontres Ă©changistes se sont alors diversifiĂ©es. Effectivement. En fait, aprĂšs un temps d’adaptation tout cela s’étire tout de mĂȘme sur deux dĂ©cennies !, ils se sont alors tournĂ©s vers des saunas mixtes et ma femme Ă©tait trĂšs populaire, mettons » et il est mĂȘme arrivĂ© Ă  diffĂ©rentes reprises que des hommes, a priori hĂ©tĂ©ros, soient finalement ouverts Ă  plus de fluiditĂ©. Claude a sa petite idĂ©e sur le sujet. Question d’ñge, croit-il. En vieillissant [
], ton identitĂ© est ancrĂ©e, tu sais qui tu es, tu ne te sens pas menacĂ© par le fait d’explorer d’autres plaisirs. Claude Inversement, dit-il, les hommes plus jeunes ont peur d’ĂȘtre atteints dans leur intĂ©gritĂ© sexuelle ». D’ailleurs, lui, s’est-il remis en question, cĂŽtĂ© orientation ? Non, parce que j’ai encore une trĂšs forte attirance pour les femmes. » N’empĂȘche qu’il se considĂšre dĂ©sormais comme bisexuel, voire pansexuel. Ce qui ne veut pas dire que ce soit plus facile pour autant. Au contraire. Être gai au QuĂ©bec, avance-t-il, c’est acceptĂ© aujourd’hui. Mais dire je suis bi, il y a encore plein de tabous ! » Du coup, il n’en parle pas. Et n’en a jamais parlĂ©. Ce serait comme dire que je suis Ă  moitiĂ© gai, c’est le feeling que j’ai. » D’oĂč son tĂ©moignage ici, comprend-on. Beaucoup de gens se sentent libĂ©rĂ©s en se racontant », confirme-t-il. Et ce faisant, qui sait, peut-ĂȘtre d’autres se sentiront-ils libĂ©rĂ©s d’autant. Si mon histoire peut permettre Ă  des gens dans la mĂȘme situation de voir qu’ils ne sont pas tout seuls, tant mieux ! » * PrĂ©nom fictif, pour protĂ©ger son anonymat HĂ© toiQu'est-ce que tu regardes ?T'as jamais vu une femmeQui se batSuis moiDans la ville blafardeEt je te montreraiComme je mors, comme j'aboie[Refrain]Prends gardeSous mon sein la grenadeSous mon sein lĂ  regardeSous mon sein laGrenadePrends gardeSous mon sein la grenadeSous mon sein lĂ  regardeSous mon sein laGrenadeHĂ© toiMais qu'est ce que tu crois ?Je ne suis qu'un animalDĂ©guisĂ© en madoneHĂ© toiJe pourrais te faire malJe pourrais te blesser, ouiDans la nuit qui frissonne[Refrain]Prends garde,Sous mon sein la grenadeSous mon sein lĂ  regardeSous mon sein laGrenadePrends garde,Sous mon sein la grenadeSous mon sein lĂ  regardeSous mon sein laGrenadeHĂ© toiQu'est ce que tu t'imagines ?Je suis aussi voraceAussi vivante que toi Sais tu ?Que lĂ  sous ma poitrineUne rage sommeille une rage sommeilleQue tu ne soupçonnes pas[Refrain]Prends garde,Sous mon sein la grenadeSous mon sein lĂ  regardeSous mon sein laGrenadePrends garde,Sous mon sein la grenadeSous mon sein lĂ  regardeSous mon sein laGrenadeRegarde.

femme qui se fait prendre par derriĂšre